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Un écrit argumentatif : quelle place pour l’homme dans notre société numérique?

VAN BALINGHEM Valentine, 3°5

Synthèse sur la séquence Des écrans et des hommes.

 Au cours de ce parcours, nous avons étudiés un roman, plusieurs extraits de livres, des nouvelles :

  • La nouvelle L’écran crevé de Didier Daeninckx.

  • La nouvelle Le salaire du sniper de Didier Daeninckx

  • La nouvelle Solitude numérique de Didier Daeninckx

  • Le roman No pasaran, le jeu de Christian Lehmann

  • Un extrait du roman Le passeur de Lois Lowry

  • Un extrait du roman La 25 éme heure de Virgil Gheorghiu,

    Ces lectures nous ont entraînés à une seule et même question, est-ce que l’homme a encore une réelle place dans la société ?

Je pense que l’homme à encore un espoir d’avoir une place dans la société, si l’Homme se remet vraiment en question. Ce que je veux insinuer c’est que l’homme doit peser le pour ou le contre, se demander ce qui est réellement bon pour lui. Prenons l’exemple de la nouvelle Solitude numérique ou le couple Martine/Régis est au bord du gouffre : l’épouse voulait faire plaisir à son mari en lui offrant une multiplication de chaînes supplémentaires pour que celui-ci vive sa passion pour le sport, mais celui ci n’en a fait qu’à sa tête, il ne vivait désormais que pour ça. Est-ce vraiment nécessaire de délaisser sa femme pour la technologie ? Justement non, ce n’est pas une solution. Nous ne pouvons pas vivre sans amour, alors pourquoi tout gâcher ? Malheureusement nous ne sommes pas dans la tête des gens. Ce passage du texte nous montre bien qu’en étant en conflit permanent avec l’homme de sa vie, Martine n’avait plus qu’une choses à faire : le faire réagir. « Parvenue sur le toit, elle vint se placer à genoux entre les deux paraboles dans lesquelles, pour qu’il l’entende enfin, elle se mit a hurler son désespoir. » . Est-ce que cela a fait réagir Régis ? Il ne me semble pas, ou du moins il a sûrement dû réagir pendant quelques jours, mais il n’a pas dû arrêter d’être « accro » à son nouvel abonnement pour autant. De plus en plus de couples se détruisent par rapport à ça. Hélas il n’y a pas que les couples, il y a également les jeunes, les célibataires.

Les jeunes, complètement accro au jeux vidéos, n’imaginent sûrement pas l’impact que ça peut avoir sur leur avenir, comme dans le roman No pasaran, le jeu de Christian Lehmann. Il met en scène trois jeunes adolescents, Thierry, Andreas et Eric. Ils se sont mis à jouer à un jeu mêlant la Violence, la Stratégie et le Sang. L’un des trois jeunes adultes va s’y prêter vraiment cœur et âme, jour et nuit, n’ayant plus du tout aucune vie sociale. Ce qui m’a interpellée dans cette lecture, c’est qu’au final Andreas, le plus entreprenant dans sa relation avec ce jeu, va complètement perdre la tête. I sera en quelque sorte assujetti et dominé par le pouvoir de ce jeu. Il ne reconnaîtra plus du tout le monde réel avec le monde des jeux vidéos en parallèle. Il n’arrive plus à s’en passer ; «  Calme toi, un vrai fragenmeister ne se laisse pas aller au découragement. La mort au combat est la plus belle mort qui soit…. ».

Ou est-ce que tout ça va nous mener ?

Hélas, nous sommes conscients que nous n’avons pas vraiment le choix d’attendre. Nous ne pouvons pas continuer à accepter dans ce monde fou de la technologie ou « la petite bête mange la grosse » : nous sommes les grosse bêtes évidemment mais la technologie nous surpasse. De plus en plus de nouveaux produits sont construits comme la nouvelle ps4, la Xbox one, ou encore de nouveaux systèmes d’alarmes ou encore même de nouveaux systèmes d’éclairage, sans parler de ces objets qui remplacent l’humain (prenons l’exemple des cœurs artificiels). Tout paraît programmé à l’avance sans même avoir un contrôle.

J’ai l’impression voir même la certitude que la technologie nous contrôle, nous empêche d’avoir notre propre liberté, elle nous « surveille » et nous dicte notre conduite..

Ou est-ce que tout ça va nous mener ?

Hélas, nous sommes conscients que nous n’avons pas vraiment le choix d’attendre. Nous ne pouvons pas continuer à accepter dans ce monde fou de la technologie ou « la petite bête mange la grosse » : nous sommes les grosse bêtes évidemment mais la technologie nous surpasse. De plus en plus de nouveaux produits sont construits comme la nouvelle ps4, la Xbox one, ou encore de nouveaux systèmes d’alarmes ou encore même de nouveaux systèmes d’éclairage, sans parler de ces objets qui remplacent l’humain (prenons l’exemple des cœurs artificiels). Tout paraît programmé à l’avance sans même avoir un contrôle.
J’ai l’impression voir même la certitude que la technologie nous contrôle, nous empêche d’avoir notre propre liberté, elle nous « surveille » et nous dicte notre conduite..

La technologie voudrait-elle que nous soyons tous identiques ? Il me semble bien que oui,comme nous le montrent les deux textes extraits de Lois Lowry et Virgil Gheorghiu. Ces deux extraits nous projettent dans le futur, dans un monde de science fiction. Science fiction certes, mais de manière barbare, sans vie humaine, sans pensée.
Ces deux textes paraissent vraiment irréalistes mais malheureusement nous le vivons quotidiennement. Ils nous révèlent bien que nous vivons dans un monde quasi « inconnu ». Nous ne reconnaissons plus rien. Ce monde ressemble de plus en plus à un monde sinistre mais surtout un monde de l’ « Identique », où tout le monde vivrait de la même manière sans aucun moyen de s’échapper. Nous serions en quelques sortes emprisonnés Une prison sans joie, sans sentiments ni émotions comme le montre cette citation «  Nous avons abandonné la couleur quand nous avons abandonné le soleil et supprimé les différences. »
Le cauchemar s’intensifie chaque jour…Le monde d’aujourd’hui se transforme en contre-utopie dans lequel les rapports sociaux sont dominés par la technologie et la science.

Pour ma part j’ai compris qu’il était nécessaire de mettre une barrière contre tout ça, de me concentrer sur des choses essentielles sans oublier la technologie, dont les ordinateurs, qui peuvent nous être utile à tout moment sans y être branché à chaque instant, chaque nuit.
Ce que je voudrais dire c’est que si la technologie meurt ou s’ étéint peu à peu au fil du temps, ils nous restera bien plus. Le plus important pour moi est d’être en vie et non de ne vivre pour la technologie. Je peux me passer de la technologie certes mais sûrement pas de mon entourage ou encore même de mes passions comme le football,ou encore même le shopping.
Comme le montre cette photo, nous ne prenons plus le temps de vivre.

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Hélas ce n’est que la triste réalité.. Un monde sombre dans lequel nous devenons transparents.

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 → Parcours « Des écrans et des hommes »